Capter la mémoire d’un territoire

Capter la mémoire d’un territoire : de quoi s’agit-il ?

capter la mémoire d'un territoire
La Motte, charmant village provençal, soucieux de capter et de partager sa mémoire pour valoriser son futur.

Capter la mémoire d’un territoire, c’est aller à la rencontre de plusieurs sources. Les anciens du village, d’hier et d’aujourd’hui, les archives municipales, départementales et aussi familiales, sont les dépositaires de cette mémoire. On en trouve également une expression dans l’agencement du réseau des routes et des chemins. Dans celui des quartiers, chacun d’entre eux portant sa propre histoire. Les parcelles agricoles racontent à qui sait les écouter les négociations d’antan qui façonnèrent le patrimoine des uns et défirent celui des autres. Continuer la lecture de « Capter la mémoire d’un territoire »

Devoir de mémoire : la Shoah

Entretenir le devoir de mémoire, notamment pour la Shoah… C’est le but de cette journée internationale qui lui est dédiée. À cette occasion, je vous suggère de vous intéresser à ce livre de Victor Klemperer : LTI, la langue du IIIe Reich. 
Et écoutez, lisez, cherchez dans l’usage fait de notre langue aujourd’hui s’il se trouve quelques analogies avec ce que décrit Klemperer.
Une pensée également pour la novlangue de George Orwell.
mémoire de la Shoaoh
Le philosophe allemand Victor Klemperer s’attacha dès 1933 à l’étude de la langue et des mots employés par les nazis.
Ses sources : discours radiodiffusés d’Adolf Hitler ou de Joseph Goebbels bien sûr. Mais aussi, faire-part de naissance et de décès, journaux, livres et brochures, conversations, etc. Il a ainsi pu examiner la destruction de l’esprit et de la culture allemands par la novlangue nazie.
En tenant ainsi son journal, il accomplissait aussi un acte de résistance et de survie.
Sitôt après la guerre, en 1947, il tirera de son travail ce livre : LTI, Lingua Tertii Imperii, la langue du IIIe Reich. Cet ouvrage est devenu la référence de toute réflexion sur le langage totalitaire. Un livre à la mémoire des victimes de la Shoah.
Sa lecture montre combien le monde contemporain a du mal à se guérir de cette langue contaminée. À près de soixante-dix ans de distance. Et qu’aucune langue n’est à l’abri de nouvelles manipulations.
Vous êtes sensible à ce devoir de mémoire ? Je vous invite à me contacter pour en parler, en cliquant ici, ou plus simplement en m’appelant au 07 83 31 07 97.
Par ailleurs, voici une source d’informations à connaître absolument, et à visiter.

Une bonne idée de cadeau !

Où l’écrivain public est parfois biographe.


Qu’il fait bon raconter !

Qu’il fait bon se faire raconter !
Qu’il fait bon se souvenir, surtout des instants heureux !

Bien des périodes de nos vies mériteraient d’être sauvegardées. Pour que le souvenir de leurs bons moments perdure, pour continuer à savourer ces derniers, encore et encore. Et les passer à la génération suivante…

Offrez ou faites-vous offrir la rédaction d’un récit de vie !
Choisissez l’événement à transcrire : les premières années du petit, la rencontre de l’être aimé, la réussite dans une entreprise ou tout autre moment fort, en mettant l’accent sur ce qu’il est intéressant d’en retenir.
Et voici un récit d’une dizaine ou d’une quinzaine de pages ! À relier joliment pour en faire cadeau autour de soi, pour partager avec ceux que l’on aime !

À bientôt pour plus d’informations !