La mémoire est un enjeu à partir d’un certain âge. Vous l’aurez sans doute noté, les méthodes et les techniques se développent pour l’entretenir et la maintenir alerte le plus longtemps possible.
Parmi ces techniques, il en est une dont l’usage est ancestral et sans danger. Sans médication non plus.
Faire appel à sa mémoire est en effet un moyen d’exercer cette dernière. Un peu comme le sportif exerce son corps lors de ses entraînements. Le but n’est pas de la rendre plus performante. Il s’agit juste de la solliciter pour éviter qu’elle ne s’endorme trop profondément.
Concrètement, les exercices sont nombreux. On peut se mettre à fredonner les chansons qu’on aime. Ou à réciter des poèmes, ou d’autres textes appris auparavant. Ou encore des listes de numéros de téléphone, pourquoi pas. Les jeux de société sont particulièrement préconisés.
On peut aussi raconter des histoires. La sienne par exemple.
Ce dernier exercice a pour autre vertu de constituer un témoignage fabuleux qu’on destine aux personnes auxquelles on se confie. Les enfants, et plus encore les petits-enfants, sont friands de ces anecdotes. Sorties tout droit d’une époque révolue, elles ont un goût d’extraordinaire ! D’abord parce qu’elles racontent ce narrateur qu’on aime. Ensuite parce qu’elles font surgir du passé tant d’éléments qui n’existent plus aujourd’hui !
Raconter sa vie et en faire un livre. L’idée de vouloir laisser son propre témoignage, avec ses propres mots rencontre un vif succès. Auprès des narrateurs d’abord. C’est le gage de permettre à son histoire de survivre après soi. De demeurer une présence auprès de ceux qu’on laisse et qu’on aime.
Auprès de ces personnes aussi. C’est un beau geste d’amour, après tout.
Cependant, l’exercice de la rédaction ne va pas de soi.
C’est pourquoi faire appel à un biographe est une bonne idée.
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