Souvent évoqués – et pour cause ! –, les écrits professionnels tiennent une place prépondérante dans la communication d’une entreprise. Cependant, bien des personnes s’interrogent quant à leur nature : en quoi sont-ils différents des autres écrits ? D’où tirent-ils cette importance dont on parle tant ?
Qu’est-ce qu’un écrit professionnel ?
La question s’impose, en effet : qu’est-ce qu’un écrit professionnel ? Il a bien sûr en commun avec ses cousins de répondre aux mêmes règles de grammaire. Ses mots sont puisés dans les mêmes dictionnaires et agencés dans les phrases selon la même syntaxe. La ponctuation et la typographie qu’il utilise sont identiques à celles de tout autre écrit.
Ce qui le différencie doit être cherché du côté du monde de l’entreprise, que celle-ci soit privée ou publique. Un tel écrit participe de l’image de la structure professionnelle qui le produit. C’est donc une question d’enjeu : l’affichage d’une forme d’exigence envers soi, voire du niveau de qualité de l’enseigne. Plus fréquent que la campagne de publicité, il est plus pénalisant quand transpirent ses défauts…
Qu’est-ce qu’un écrit professionnel ? (Suite)
Quels types d’écrits range-t-on dans cette catégorie ? En réalité, tous y trouvent leur place, dès lors qu’ils s’adressent à un tiers, en interne ou en externe. Et qu’ils sont produits dans le cadre de l’entreprise, bien évidemment. Dans la liste, certains occupent une place plus importante que d’autres : les courriels et les devis notamment. Sans oublier les propositions commerciales qui les accompagnent bien souvent, les notes et mémos, ou encore les fiches de présentation. Donc, tout ce qui s’écrit et porte en plus ou moins gros le nom de l’entreprise. Bref, son identité exposée en pleine lumière.
Comment produire un écrit professionnel irréprochable ?
Autre question essentielle, à n’en pas douter ! Qui n’a jamais tiqué en relevant dans la production d’un collègue ou d’un chef une coquille ou une étourderie ? L’humilité impose de reconnaître qu’on n’est soi-même pas à l’abri de commettre de telles bévues. La réponse à la question posée réside dans la maîtrise de la langue écrite et des usages en vigueur. À chacun donc de réviser sa grammaire et de lire du bon français. Puis de relire sa prose et, pourquoi pas ? de se faire relire. Dans certains cas, quand l’enjeu est de taille, il est aussi possible de faire appel à un professionnel de l’écriture pour autrui. Pour en savoir plus à ce sujet, je vous invite à découvrir cette page.
Pour conclure
La langue française est souvent qualifiée de difficile. Son apprentissage et le maintien des acquis nécessitent d’y consacrer un effort sans cesse renouvelé. Par ailleurs, les usages sont multiples et caractérisent tel ou tel milieu, notamment professionnel. Sans parler des jargons et autres acronymes souvent inaccessibles au lecteur non initié à ces arcanes obscurs.
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