Accompagnement vers l’emploi

Solliciter un accompagnement vers l’emploi n’est pas une idée saugrenue. Bien sûr, on peut se débrouiller seul. Cependant, décrocher l’entretien d’embauche déterminant qui conduira au contrat tant espéré relève aujourd’hui de l’exploit.

accompagnement vers l'emploi

Vers l’emploi : un parcours complexe

Les chiffres du chômage sont là pour le confirmer : trouver un job est difficile. Raréfaction de l’offre, dématérialisation du recrutement, standardisation des procédures : tout concourt à rendre l’embauche hasardeuse.
Ce parcours complexe est encombré d’obstacles qu’il faut apprendre à franchir. Ou à contourner.

L’emploi et le recruteur

Un poste à pourvoir, et le recruteur s’annonce dans la ronde. Qui est-il ? Quels sont les critères qu’il privilégie ? Comment gère-t-il la procédure d’embauche qu’il doit mener à bien ? Et tant d’autres questions qu’il est légitime de se poser quand on cherche du boulot.
Retenons que les points importants sont la lecture de l’offre d’emploi, la rédaction du CV et de la lettre de motivation, la préparation à l’entretien et la cohérence à donner à tous ces éléments.

Se faire accompagner ?

Est-on souvent confronté à ces points essentiels ? Les maîtrise-t-on ? A-t-on le recul nécessaire pour ne pas se laisser berner par son ego ? En d’autres termes, est-on suffisamment autonome pour se lancer seul dans la prospection d’un emploi ?
Chacun est bien sûr libre d’agir comme bon lui semble. Toutefois, considérons un instant l’enjeu de cette aventure : l’emploi indispensable pour vivre et assumer son autonomie justement.

Se faire accompagner vers l’emploi, c’est se donner les moyens de son ambition. Ne rien laisser au hasard. Mettre toutes les chances de son côté.

accompagnement vers l'emploi

Un professionnel de l’accompagnement vers l’emploi

Mon passé de recruteur m’a laissé l’expérience de la sélection des CV. Des atouts de la lettre de motivation qui retient l’attention. De la préparation et de la conduite de l’entretien d’embauche.

Pour être passé moi-même par l’étape de la transition professionnelle, j’en ai appris les méandres. Et la manière de les franchir, pour atteindre l’objectif : décrocher l’emploi tant convoité.

Ancien gestionnaire de ressources humaines, j’accompagne aujourd’hui de nombreuses personnes dans cette démarche. Comme j’accompagne les recruteurs dans la rédaction de leurs annonces. J’en sais donc toutes les finesses, toutes les attentes.

Plus d’informations sur l’accompagnement vers l’emploi en cliquant ici.

Passeurs de mémoire, passeurs d’espoir

Un salon dédié à la mémoire

Passeurs de mémoire, passeurs d’espoir, c’était le titre donné au salon auquel j’ai participé. L’événement s’est tenu ce week-end, à Vidauban, dans le Var. À une quinzaine de kilomètres de Draguignan, au cœur de mon secteur d’activité.

passeurs de mémoire, passeurs d'espoirDes ateliers d’écriture

Et ce fut un bel événement ! J’ai eu l’opportunité d’y animer des ateliers d’écriture. Tous les âges se sont présentés. De l’écolier en première année d’apprentissage de l’écriture, au papy adepte de l’activité de longue date. Sans oublier Mamie, qui s’est jointe aux autres pour libérer elle-aussi sa créativité. C’est bien connu : l’atelier d’écriture est un moment de convivialité exceptionnel. Ceux-ci n’ont pas failli, les échanges occasionnés ont été nombreux et appréciés par tous.

Des conférences sur la biographie et le récit de vie

Le public était également au rendez-vous de mes conférences sur la biographie. Les auditoires qui se sont succédé se sont montrés très intéressés. Ils ont largement joué la carte de l’interactivité. Les questions ont fusé, le temps imparti a été dépassé. Qu’à cela ne tienne, le but était de satisfaire les curiosités, et ce fut le cas !

passeurs de mémoirePasseur de la mémoire combattante

Mon camarade Philippe Roudier, lieutenant-colonel conservateur du musée des Troupes de marine, était de la partie. Il a proposé aux visiteurs une série de panneaux d’information autour du débarquement de Provence. Dans la salle des conférences, il en avait installé d’autres racontant la Force Noire. Il a également montré au public comment trouver des informations relatives aux combattants morts pour la France. Pour cela, il s’est servi d’un exemple tout provençal, celui de Lili des Bellons, ami de Marcel Pagnol.

Passeur d’histoire

Un autre conférencier, Philippe Castellano, a évoqué la mémoire d’Antoine de Saint-Exupéry. Le samedi autour du Petit Prince, pour les enfants. Et le dimanche, en évoquant le mystère de la disparition de cet aviateur-écrivain hors-pair. Historien de l’aviation, Philippe est aussi plongeur. C’est lui qui a identifié avec certitude l’épave de l’avion de Saint-Ex au large de Marseille.

Passeurs de mémoire de la Résistance

Jules Castellan, dernier membre FFI en vie du village de La Motte, était présent ce samedi. Comme à son habitude, il s’est plu à répondre aux questions des plus jeunes comme des plus anciens. Dimanche, d’autres anciens combattants sont venus raconter leurs aventures. S’il est toujours difficile de rapporter ce que fut le contexte de celles-ci, nos narrateurs ont tenu en haleine leur public.

Oui, ce fut un beau succès. Vivement l’année prochaine !

Un discours

Rien de tel qu’un discours

Oui, rien de tel qu’un discours bien senti pour faire la promotion de son entreprise. Cette entreprise qu’on a créée, qu’on porte à bout de bras. Faire la promotion des produits qu’on y vend ne doit pas être bien compliqué ! Un peu de temps, une pointe d’inspiration, une page blanche et un bon stylo, et le tour est joué !

un discours

L’éloquence a rendez-vous avec la clientèle

Pour cette action promotionnelle, on a tout prévu. D’abord, une salle dans un lieu adapté où accueillir ses invités. Puis un conférencier pour asseoir l’excellence du produit phare de la maison. Et pour terminer sur une note conviviale, très commerciale, un cocktail pour rencontrer les prospects. Et, si possible, noter les commandes qui ne manqueront pas de fuser.

Pour lier le tout, le discours

Vous avez dit rédiger ? Devant la page blanche, papier ou écran, la question se pose : par quoi commencer ? Et puis les autres suivent : de quoi parler ? Comment en parler ? Comment ordonnancer le propos ? Quel style adopter ? Le temps passe, on s’énerve. Et on finit par remettre l’exercice à demain. Demain ?

Pourquoi ne pas faire écrire ce discours ?

Oui, il doit bien exister un professionnel de cette affaire… Présent ! vous dirais-je alors. Je vous prête ma plume pour rédiger ce discours qui vous pose problème. Après vous avoir écouté me préciser votre besoin, j’écrirai pour vous le texte dont vous attendez tant.

Confiez cette rédaction à un professionnel

Écrivain-Conseil®, ma plume écrit tous les mots que vous cherchez vainement. Vous manquez de temps, l’inspiration se fait désirer : confiez-moi cette tâche. Vous gagnerez en sérénité. Ensemble, nous élaborerons la trame de cette prise de parole si importante pour vous. Et pour l’avenir de votre entreprise !

Plus d’informations sur la rédaction d’un discours ou d’une prise de parole en cliquant ici.
Alors, n’hésitez plus, appelez-moi ! Ou laissez-moi un message en cliquant ici.

 

Écrire pour vulgariser

Le besoin d’outils efficaces

De nombreux domaines utilisent des champs lexicaux souvent abscons pour la plupart des personnes. Ces mots et ces locutions sont réservés aux seuls connaisseurs confirmés. Ces derniers les modèlent pour simplifier l’expression de notions complexes, de concepts difficiles d’accès. Si cette démarche est destinée à leur faciliter la tâche, elle en interdit la compréhension au public non averti. C’est pourquoi il est si important de pouvoir écrire pour vulgariser ces éléments de la connaissance.

écrire pour vulgariserUne écriture d’initiés

Ces concepts compliqués s’expriment bien souvent en langue mathématique. Les équations utilisées sont impressionnantes aux yeux des non-initiés. On y contemple ce qui ressemble à des hiéroglyphes. De nombreux signes et symboles enchevêtrés, imbriqués les uns dans les autres. Ces équations ont parfois même l’apparence d’œuvres graphiques d’un artiste un peu fou.

Traduire pour écrire

Il est parfois nécessaire de diffuser ces concepts. Parce que le public, en tout ou partie, a besoin de se les approprier. Cet exercice de vulgarisation impose avant tout de traduire ces champs lexicaux si particuliers. Pour cela, les maîtres de l’art doivent fournir un effort considérable pour se faire comprendre. De même, le rédacteur doit se concentrer pour capter la signification et la rendre avec précision.

vulgariser la connaissanceVulgariser pour diffuser la connaissance

C’est l’essentiel du besoin : faire connaître. Si des domaines n’apportent pas grand-chose au quidam, d’autres, comme celui de la santé, revêtent un intérêt certain. Faut-il être médecin pour parler de santé ? ceci semble être une évidence. En revanche, pour rédiger dans ce domaine, l’écrivain prête-plume a seulement besoin d’être guidé.

Vulgariser une méthode

Mon client compte plus d’une trentaine d’années d’expérience dans son domaine. Médecin et chercheur, il a développé une approche personnelle de son art. Sa démarche s’appuie sur les travaux d’une communauté de scientifiques et de philosophes reconnus dans le monde entier. Alors qu’il s’apprête à prendre sa retraite, il a ressenti le besoin de transmettre. De passer le flambeau, pour faire vivre le fruit de son travail. L’ouvrage est en cours de rédaction, et j’espère pouvoir vous le présenter sous peu.

À très bientôt !

Passer la mémoire

Passer la mémoire d’autrui, voilà une belle idée. Comme celle de rassembler les biographes francophones sur une même plateforme en ligne. Chacun rédige sa fiche de présentation et choisit comment se peindre au mieux. Il met en avant ce qui le caractérise et donne quelques précisions sur son mode de fonctionnement. À l’écran, un cartouche récapitule les éléments essentiels tels que le nom du cabinet, le tarif, les coordonnées et le lien éventuel vers le site internet du professionnel. Ainsi, le visiteur peut aisément comparer ces critères communs d’un biographe à l’autre. Tout comme il découvre la sensibilité de chacun au travers de la prose utilisée pour brosser son portrait. Le mien se trouve ici.

Passer la mémoire
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Un mariage laïc

Un mariage, laïc ou non, est la manière la plus charmante d’officialiser l’union de deux êtres avec la solennité nécessaire à cet engagement pour la vie.

Angélique et Alain se posèrent alors la question : « à qui confier l’organisation de cette cérémonie ? ». Gaël Delaite, leur photographe et ami, leur donna mes coordonnées.
Dans l’après-midi du 15 juin dernier, Angélique m’a téléphoné et demandé s’il m’était possible de prendre en charge cette affaire. Pour leur mariage le samedi suivant…

Un premier entretien le lundi 17 pour écouter les souhaits de ce couple, puis la rédaction d’un projet de cérémonial. Un second entretien le mardi 18 pour présenter ce projet et en préciser les derniers détails. Et voilà un mariage laïc tout prêt !
Il ne restait plus qu’à s’accorder sur les textes à lire au cours de la cérémonie, sur la couleur des rubans et leur symbolique, et pour finir, sur la teneur de la profession de foi des mariés. Tout fut prêt le jeudi 20.

Quelques conseils aux différents intervenants : les témoins bien sûr, et la maman de la mariée, qui tenait à dire un mot à sa fille et à son gendre.
Une répétition le jour même pour que chacun visualise son rôle.
Des antisèches juste à côté du micro, pour le cas où…

Seule la météo généra de l’inquiétude au dernier moment : un orage a sévi sur Montferrat cet après-midi là, pour finir par laisser le soleil illuminer la cérémonie !

Un mariage laïc

Celle-ci s’est brillamment déroulée. Chacun fut au rendez-vous, et l’émotion n’était pas la dernière !
Un grand merci pour leur confiance aux mariés !

Pour en savoir plus sur le mariage laïc, cliquez ici.
Plus d’informations sur cette prestation en cliquant ici.

Le quartier des Caïs

Le quartier des Caïs, ou l’accompagnement d’un auteur.

Quand on est profondément attaché à son quartier, qu’on y a vécu et aimé, il est parfois tentant d’en relater l’histoire.

C’est le défi que s’est lancé Christian Daoust. De son écriture fine et nerveuse, ce Fréjussien a noirci près d’une centaine de pages grand format, petits carreaux. Lui restait à trouver qu’en faire.

Le quartier des Caïs

Après un premier entretien, un essai de dactylographie de quelques pages et un accord sur les modalités de travail, nous avons convenu que l’aventure méritait d’être tentée.

Au résultat : un livre de trois cent vingt-huit pages, en vente en librairie et en version électronique. Son titre ? Le quartier de Caïs.
Christian s’est pris au jeu et s’est d’ores et a depuis publié deux autres opus.

Un accompagnement à la carte

Vous êtes tenté par l’aventure de l’écriture ? Je vous accompagne tout au long de ce parcours !
En fonction de votre besoin, je vous propose plusieurs modes de fonctionnement. Du simple conseil pour envisager la conception globale de la rédaction de votre livre. Ou plutôt un accompagnement plus discret, sur le long terme de votre travail, sous forme de points de situation commentés.
Jusqu’à la rédaction complète de votre projet, toujours sous votre gouverne bien entendu. À vous de choisir !

Pour en savoir plus, contactez-moi en cliquant ici. Ou plus simplement, appelez-moi au 07 83 31 07 97.

La Retirada

La Retirada : un épisode de notre histoire, dont les conséquences sont visibles encore aujourd’hui. Par exemple…

Hier, un monsieur de bientôt 90 ans me racontait qu’à l’âge de 6 ans, il se trouvait avec ses parents et son frère dans un petit village du Pays Basque espagnol. Son père avait perdu son entreprise dans la tourmente de la crise de 1929, et s’était retiré là, d’où il était originaire et où il avait quelques terres de famille.
Quand arrivèrent les troupes franquistes… Chasse aux Républicains, couvre-feu, terreur… Son père s’est enfui pour échapper à ces exactions, laissant sa famille à son sort.

Un soir que sa maman est alitée avec une forte fièvre, mon narrateur se rend à la ferme la plus proche pour y acheter du lait et confectionner une boisson chaude additionnée de teinture d’anthurium afin de la soigner. La traite demande plus de temps que prévu, il ne prend le chemin du retour qu’après l’heure du couvre-feu.
Et se fait arrêter par une patrouille dont le chef décide d’appliquer la consigne selon laquelle toute personne non autorisée circulant pendant ce couvre-feu doit être fusillée sur-le-champ.

Alors que la troupe s’apprête à exécuter ce petit garçon, surgit un officier qui interpelle celui-ci et lui demande la raison de sa présence ici à cette heure tardive. Le bonhomme raconte et demande à porter le lait à sa mère malade en promettant de revenir sitôt la potion concoctée.
Après quelques secondes d’hésitation, l’officier siffle en espagnol ce simple mot : « file ! », accompagnant ses paroles d’un geste sans équivoque. Le gamin s’esquive avec son pot de lait.

La Retirada, ou les leçons de l’histoire vécue

Bien des années plus tard, ce monsieur est lui-même devenu officier dans l’armée française. Et alors qu’il croyait avoir oublié cet épisode depuis longtemps, une situation particulière survenue en opération au cours de la guerre d’Algérie va changer le cours de nombreuses vies de femmes et d’enfants…

Mais ça, c’est une autre histoire !…

La Retirada - Votre Plume 83 écrivain public à Draguignan
Réfugiés espagnols pendant leur transfert au camp de Barcarès (Pyrénées-Orientales), mars 1939, Robert Capa © Musée national de l’histoire et des cultures de l’immigration.

Ce vieux monsieur a vécu la Retirada, Français perdu dans le flot de réfugiés. Avec sa mère et son frère, ils ont fini par pouvoir justifier de leur nationalité et rejoindre la région parisienne, non sans avoir été témoins de ces événements tragiques.

Vous aussi, vous portez le souvenir de cet épisode terrible ? Alors, passez votre mémoire comme on passe un relais !
Merci de me contacter en cliquant ici. Ou plus simplement, en m’appelant au 07 83 31 07 97.

Devoir de mémoire : la Shoah

Entretenir le devoir de mémoire, notamment pour la Shoah… C’est le but de cette journée internationale qui lui est dédiée. À cette occasion, je vous suggère de vous intéresser à ce livre de Victor Klemperer : LTI, la langue du IIIe Reich. 
Et écoutez, lisez, cherchez dans l’usage fait de notre langue aujourd’hui s’il se trouve quelques analogies avec ce que décrit Klemperer.
Une pensée également pour la novlangue de George Orwell.
mémoire de la Shoaoh
Le philosophe allemand Victor Klemperer s’attacha dès 1933 à l’étude de la langue et des mots employés par les nazis.
Ses sources : discours radiodiffusés d’Adolf Hitler ou de Joseph Goebbels bien sûr. Mais aussi, faire-part de naissance et de décès, journaux, livres et brochures, conversations, etc. Il a ainsi pu examiner la destruction de l’esprit et de la culture allemands par la novlangue nazie.
En tenant ainsi son journal, il accomplissait aussi un acte de résistance et de survie.
Sitôt après la guerre, en 1947, il tirera de son travail ce livre : LTI, Lingua Tertii Imperii, la langue du IIIe Reich. Cet ouvrage est devenu la référence de toute réflexion sur le langage totalitaire. Un livre à la mémoire des victimes de la Shoah.
Sa lecture montre combien le monde contemporain a du mal à se guérir de cette langue contaminée. À près de soixante-dix ans de distance. Et qu’aucune langue n’est à l’abri de nouvelles manipulations.
Vous êtes sensible à ce devoir de mémoire ? Je vous invite à me contacter pour en parler, en cliquant ici, ou plus simplement en m’appelant au 07 83 31 07 97.
Par ailleurs, voici une source d’informations à connaître absolument, et à visiter.